Décidément, le secteur de l’éducation — secteur vital, s’il en est — est en train de dépérir à vue d’œil. Il est inutile de rappeler toutes les défaillances dont souffrent pratiquement toutes les écoles. De plus, l’absence du corps enseignant, à longueur d’année, est tellement courante que c’en est devenu banal.
Au collège Riadh Ennaser, et alors que nous sommes presque à la fin de l’année scolaire, les élèves de la classe de 8e B1 attendent toujours leur professeur de physique, absent depuis la rentrée, et qui n’a jusqu’ici pas été remplacé. Que doivent faire ces élèves? Que doivent faire leurs parents? On ne voit pas de solution.
T.B.